Ah ! La rentrée scolaire ! L’odeur des crayons neufs, les piles de
cahiers et de livres, le son des pubs de fournitures scolaires… Pour le
précaire, c’est plutôt l’odeur de la peur, les piles de factures et le
son des pensées qui nourrissent l’insomnie. Ou, pire, le silence,
l’affreux silence du téléphone qui ne sonne pas et qui laisse le
précaire sans contrat.
Pour lire l’article complet dans La Presse : http://bit.ly/1PLse9G
Bonne lecture !